Mercenaire 1650

Une p'tite suite à ma période du XVII ° siécle, toujours pour la bonne cause: compléter la collection de mon pote Daniel.
Donc, sa sélection fut cette pièce de Best Soldiers, scupltée.par l'Espagnol Antonio Zapatero, dont j'ai fait la connaissance lors d'un précédent concours, à Bra....

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De nombreux éléments composent cette figurine, sculpture impeccable, quant au moulage, de la meme qualité que la sculpture: bien....Une certaine finesse est à relever, concernant la protection de la poignée de l'épée.Je reviendrai dessus ultérieurement.

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Avant de commencer cette figurine, un petit retour historique s'imposera.....

A suivre......

L'ARM2E DU DEBUT DU XVII° siècle
Si le début de ce siècle est considéré comme une sombre période, la condition du soldat de ce temps estdes plus noire.Comme l'indique Sullu:"la milice française n'avait rienque de rebutant.....On enrôlait par force les soldats dans l'infanterie, et on les faisait marcher avec le bâton.On leur retenait injustement leur solde, on ne les menaçait que de prison, les gibets étaient sans cesse devant leurs yeux.On les réduisait à tout tenter pour leur désertion et, pour parerà cet inconvénient, il fallait que les prévôts les tinssent comme assiégés dans leur camp.Les officiers, mal payés, étaient, en quelque manière,autorisés à la violence et au brigandage....."
Tout est dit dans cette situation.

LE QUTIDIEN
C'est la misère et la maladie qui décimentces armées de mercenaires, bien plus que les batailles, pourtant sanglantes.La discipline, draconienne, est le seul moyen de maintenir les troupes: elle est intraitable quant à l'xactitude des services de garde, l'entretien des armes, la conduite au combat.La mort punit la moindre incartade, une gamme ancestrale de supplices et de mutilations diverses la rend encore plus effrayantes.Lorsque le ravitaillement manque, les chefs, préconisant officiellement le respect des populations, ferment le plus souvent les yeux sur les pillages et autres canailleries.En temps de guerre, pillage, viols, et meurtres sont le bénéfice des assauts, et rares sont les officiers assez forts pour arrêter le carnage: le principe instinctif de ces gens crevant de faim ne peut être que "manger pour ne pas être mangé....."

D'après un article de Michel Pétars, dans la revue Uniformes n° 63

N'oublie pas que notre maison d'édition LRT a sorti "Les Armées Françaises de la Guerre de 30 ans" et "Les Tercios" qui fournissent beaucoup d'éléments utiles pour cette période

C'est vrai.....on verra tout cela à Nice....et brancherai mon pote Daniel ( cette période est sa grande passion....)

Me tarde de venir au Figurinice.
Ca fait du bien un WE figs et amis .