LES RATS DU DESERT EN ALLEMAGNE, 1945.

Bonjour,
Les Rats du Désert en Allemagne. Janvier 45.
Voici un projet à long terme qui va regrouper un véhicule militaire à roues et sept personnages dans un décor d’ambiance froide, grise et lourde de menaces.

La scène :
Janvier 1945, entre le Rhin et Hanovre. La 7ème DB britannique se prépare à l’offensive qui doit la mener à Hambourg (opération Blackcock, phase 1).
La météo annonce temps froid, bourrasques de neige. Horizon bouché à 1000 mètres, perturbations radios prévisibles.

Le 8th ( King’s Royal Irish) Hussars, est le régiment de reconnaissance blindé de la division. Il est équipé de véhicules blindés Staghounds et de chars moyens Cromwell. Ses éléments de commandement , de reconnaissance, de liaison et de communications sont sur scout cars Dingos.
Un poste avancé du Regimental Intercommunications Troop ( 3x Dingos) est en poste opérationnel pour maintenir la liaison entre les Squadrons du régiment, le commandement et les services ainsi que les troupes d’appui et de soutien mises à disposition.
A l’entrée d’une habitation ruinée, le poste camouflé laisse un scout car prêt à répondre à un besoin. Des personnels, en dehors de l’équipage du Dingo, sont autour profitant d’un moment de calme.

Les personnels appartiennent principalement au 8th Hussars, à l’exception de deux spécialistes du Royal Corps of Signals et un du RTR. Ils portent la combinaison renforcée d’hiver des tankistes, et le béret noir du Royal Armoured Corps. Cependant, un seul porte l’insigne de béret du RTR,
[img][/img] l’officier au sol, qui a revêtu la combinaison verte de zone tempérée . . Il appartient au 1st Royal Tank Regiment attaché à la 22nd Armoured Brigade et régiment de chars principal, équipé des sherman Firefly ( canon ATk 17 pounder= 76,2mm). Certains au sol, en combinaison d’hiver appartiennent à l’état major du régiment. Tous portent l’insigne de béret du 8 représentant la lire irlandaise sous la couronne et sur une banderolle.

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Deux personnages présentent un e particularité supplémentaire dans la tenue. Le conducteur du Dingo, emmitouflé dans sa combinaison jusqu’au nez porte le casque du type TAP qui équipait aussi certaines formations blindées. L’officier debout sur le véhicule a revêtu la veste de cuir lourd sans manche très populaire dans l’armée britannique. Ces deux personnages sont prêts à faire mouvement à tout moment , en plein air dans leur véhicule, et se protège contre le froid comme ils peuvent.
Ceux du RCS sont dans la même tenue, leur insigne de coiffure régimentaire représente Héraclès dans le ruban de la’’ jarretière’’ et sous la couronne.


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Le véhicule :

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DINGO SCOUT CAR (maquette Mini Art , 1/35)
Fabrication ukrainienne. Les pièces sont bien moulées et s’assemblent sans problème. Peu d’ébavurage et des plots faciles à effacer. Le plastique parait cependant un peu souple, cequi facilite quand même son travail,et ne trouve sa rigidité qu’après l’assemblage avec d’autres pièces.
Celles-ci sont très nobreuses, parfois on se demande si elles n’ont été séparées que pour le plaisir sadique de certains maquettistes. Certaines sont très petites et donc difficiles à tenir et manipuler. Le set de photodécoupes est carrément dément. Certains boulons font moins de 1/5 de mm. Impossible à manipuler, même avec une pince.
Mais l’allure est belle, les proportions bonnes et la notice de montage est d’une clarté et de détails tellement faciles à suivre qu’on a l’impression d’une notice technique sortie d’usine.
En bref, une bien agréable petite voiture pour une scénette sympatique.
Le Daimler Scout Car Dingo est ici dans sa version véhicule du commandant de l’équipe transmissions de l’état-major régimentaire. Il dispose d’un armement de bord : le fusil mitrailleur Bren,

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et de deux postes de radio de forte puissance qui lui assurent des liaisons avec la chaine de commandement sur une fréquence et des liaisons avec les autres stations de son échelon sur une autre.
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Le véhicule, à ciel ouvert est peint à l’intérieur et à l’extérieur en vert foncé britannique. A des fins d’identification ‘’ami/ennemi avec les armées de l’air alliées, il porte , comme tous les véhicules terrestres une grande étoile blanche sur le capot moteur.
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La suite à venir.

1ère suite:
Lorsque ces équipes partent en mission, c’est souvent pour un long moment, loin de tout contact ami. Elles transportent avec elles tous les impédimentas des deux hommes d’équipage, tout le ravitaillement pour les hommes et le véhicule, plus tout ce qu’on ne peut empêcher quiconque de trouver indispensable en campagne. Il est bien évident que la place nécessaire pour embarquer tout cela ne ressemble pas aux impératifs du service du matériel ni de l’intendance , et trouve sa place à l’extérieur du véhicule, ce qui transforme beaucoup ses formes réglementaires.
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Le marquage tactique :
L’armée britannique a profité de toute la seconde guerre mondiale pour mettre au point un système de marquage tactique de ses véhicules cohérent et visible de relativement loin qui permette d’identifier rapidement l’appartenance à une unité.
Chaque division est identifiée par un numéro porté à gauche du véhicule, et d’un signe graphique ( forme géométrique de couleur, animal, outil, arme, etc…). La 7th armoured a les déclinaisons du 40.
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Cette division est celle des ‘’Rats du Désert ‘’ de Montgomery. Elle porte donc (à droite) la gerboise dressées rouge, sur un cercle blanc, inscrit dans un carré rouge.


Le 8th ( King’s Royal Irish ) Hussars est le Régiment de reconnaissance blindée , Elément Organique Divisonnaire ( EOD 7). Il porte le N° 45 . Sa couleur est donc un carré vert et bleu à bandes horizontales. Le 45 blanc est inscrit sur le carré.
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Entre ces deux marques : un 5 noir dans un rond jaune . Il s’agit de la catégorie d’engagement de tonnage, pour les franchissements, les limitations des ponts et bacs et l’accès sur les véhicules transporteurs.
Le N° matricule du VHL, de 5 à 6 chiffres, commencera toujours par la lettre F. On le trouve devant le véhicule et sous les panneaux de flancs.
Sur les panneaux des flancs :
Le 8 est le 2éme régiment EOD de la 7th . ( le 1er est le 11th Hussars, le 3ème : 3rd Company Royal Northumberland Fusiliers ( independant machine guns). Il a son signe tactique en jaune ( 1er : rouge, 3ème : bleu)
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Le Regimental HQ est identifié par un losange vertical (Diamond). La troop ‘’transmissions’’ aura donc, sur ses flancs, un diamant jaune.

Le quartier général de la division , par lui-même, s’identifie par le ‘diamond’ de couleur blanche.
En tant que véhicule de l’état major du régiment, le véhicule ne reçoit pas de N° particulier au sein de son équipe.



Voilà pour la présentation.
J'en arrive à la maquette par elle même. Les figurines et le décor seront traîtés plus tard, au fur et à mesure de leur avancement.

Suite 2:
La maquette, donc , se présente sous la forme de 262 pièces et une plaque de photodécoupes.
La feuille de décalcomanies permet de réaliser les Dingos de 4 divisions britanniques différentes engagées dans la dernière guerre mondiale.
Il n’y a pas de coque préformée, et tout est assembler à partir du plancher du châssis. Seuls les flancs de l’habitacle assurent la rigidité et le bon profil de l’ensemble.

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Le plan de montage, sans un mot d’explication ( de toute façon je ne parle pas couramment l’ukrainien…), est d’une clarté totale et se lit facilement. On dirait une notice technique. La gravure des pièces est propre et précise et le plastic se travaille très facilement. La couleur gris moyen des pièces est reposante à la vue et permet de travailler facilement.
La feuille de photodécoupes est suffisamment fine pour plier et replier les petites pièces. Par contre il est proposé une trentaine de boulons ridiculement petits, impossibles à manipuler , vu leur taille (plus petits qu’une tête d’épingle), et qui auraient gagné à être moulés directement sur les pièces et axes. Sous cette forme, ils n’apportent rien d’utile à l’ensemble.
Les personnels de l’équipage, au nombre de deux sont assez moyens, surtout le conducteur ( que je laisserai dans sa boite) et le set de l’équipage de char de Dragon est beaucoup plus juste et détaillé (surtout le conducteur en casque et complètement frigorifié, qui viendra prendre sa place à côté du véhicule) .
N’ayant pas ‘’fait’’ de maquette d’engins depuis très longtemps, j’ai décidé , au moins pour le montage, de suivre le plan pas à pas, ce que je vais vous faire partager. Après avoir assemblé les deux rails latéraux du châssis et les plaques avant et arrière , la maquette prend forme, surtout avec un essai ‘’à froid’’ de positionnement des flancs de l’habitacle.



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Premier contact avec la photodécoupe.
Ensuite, le plancher et ce qui va dessus. Les pièces sont très fines et s’emboitent bien.
Le poste de radio est à peindre ( cadrans et commutateurs) avant de fixer sa grille de protection qui est en photodécoupe.




Le siège du chef d’engin est pivotant.


Il peut être dirigé dans le sens de la marche du véhicule pour permettre le tir au fusil mitrailleur qui viendra se loger dans la plaque de blindage avant, tourné vers la gauche pour permettre au chef d’engin d’utiliser la trappe latérale de l’habitacle, ou tourné vers la droite pour lui permettre alternativement , soit l’accès aux commandes du poste radio, soit de s’asseoir sur le sommet de la coque ( position tellement favorite des chefs d’engins qu’il est prévu en montage de série un petit strapontin à l’arrière de la cabine. Il faut dire qu’elle est tellement exigüe qu’on les comprend).

Le sous ensemble cabine a été peint à l’acrylique Prince August et vieilli de même. Le sol, les frein à main et levier de vitesse et le gros réservoir derrière le conducteur sont un mélange de marron terre moyen et vert chasseurs russe. Le poste radio aussi, avec plus de vert. Les batteries sous la radio, même mélange avec un rajout de vert bronze. Le siège est de deux marrons ( moyen et cuir) et de noir, avec un lavis de ‘’fumée’’. L’extincteur est en rouge sang. Les éclats sur les angles (dûs aux chocs et à l’usure) Ont été traités à l’argent tiré pour faire plus aluminium que bijou.
Pour finir , pour aujourd’hui, une photo qui donne une idée de la taille de la pièce.





Voilà pour aujourd'hui. Peut être déjà des commentaires dans l'air?

Historique, plus qu'interressant.....Des fois, je me demande où tu prends toute cette doc, surtout concernant les différents marquages....
très bonne approche des différentes usures du véhicule...., en fait, l'intérieur du véhicule.....J'en apprécie le visuel.....
Et l'échelle ? du 35 ème, je présume....alors, les p'tits boulons, au 72 ème....bonjour les dégats.....

les petits boulons sont tellement minuscule que j'ai décidé de ne pas y toucher. Une goutte de colle en gel fera beaucoup mieux l'affaire.
Pour les marquages, c'est une longue histoire de recoupements et de vérifications de documents divers. Jamais plusieurs fois la même source. c'est un vieux réflexe de méthode d'un ancien job.
Mais il y a aussi les documents qui ressortent des doctrines. C'est facile de les recouper avec les connaissances qu'on a obtenu par ailleurs.
Tout n'est pas toujours compliqué. tous les pays utilisent des codes couleurs et formes pour s'y reconnaitre. Les schémas sont connus.
Pour les panzers allemands, la lettre R suivie d'un chiffre romain= un véhicule de l'état major. les 3 chiffres sur la tourelle: le 1er ( les cents) = la compagnie; le 2ème ( les dix)= la section; le 3ème ( les unités) = le char dans la section. Pour les américains ou les israeliens il y a d'autres systèmes, pour les brits, pendant la WW II, le rouge était le 1er bataillon, le jaune le 2ème, le bleu le 3ème; un triangle était le 1er escadron, un carré le 2ème, un rond le 3ème, et le PC un diamant. Après, c'est une question d'expérience.

Coucou mon Philou !!!!

Ben alors tu démarres sur les chapeaux de roues !! Tes connaissances coté historique me laissent toujours autant sur le c**, tu es vraiment une encyclopédie, j'adore les présentations de tes posts avec tous ces détails autant sur les figurines que sur les maquettes !!!


Pour les petits boulons tu as bien raison, le rendu plat de la photodécoupe est un de ces désavantage, la cyano gel sera parfaite.


Bonne continuation.

Merci Philou, à quelle page veux tu que j'ouvre cette encyclopédie?

N'importe la quelle, tu me régales à chaque fois !!!!!

Philou, je tiens à ta disposition l'ordre de bataille avec les marquages de véhicules de la 1st polish armoured division en 1944.[img][/img]
ces braves types se battaient depuis 1939 . Ils ont été saignés comme des porcs dans la poche de Falaise, ont contre attaqué comme des fous avec les canadiens de la 4th armoured pour conquérir les quelques buttes qui fermèrent l'encerclement de Normandie, notamment du côté de la côte 112 et de l'aérodrome de Carpiquet . Entre autres. quand je pense qu'en 1945 presonne n'a fait le moindre geste pour reconnaitre sinon honorer leur mémoire, quand je pense qu'on leur a offert un billet de retour vers une Pologne bolchevique ou le chommage en Europe de l'ouest, j'ai un peu envie de dég......l.er
Mais tonton Staline était tellemnt à ménager par ces couilles molles de radicaux socialistes de l'époque....

Merci pour tout, je vois que tu en as quand même gardé pas mal sous le coude de doc !!!!

Malheureusement, beaucoup trop de soldats n'auront pas eu droit aux honneurs qu'ils méritaient ... :

Suite 3 :
L’intérieur des flancs de l’habitacle a été peint comme le plancher.

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La coquille de la cabine se présente sous la forme de cinq panneaux. Avant de les assembler, il faut placer les instruments et les photodécoupes. Sous le panneau incliné avant, on aperçoit deux rangées de petites cases. Ce sont les rateliers à chargeurs du fusil mitrailleur. Je les laisse en couleur métal pour rappeler l’usure ( cela permet aussi de mieux les distinguer).
Le panneau vertical avant reçoit : le volet de dessus de la saignée pour l’arme lourde, que j’ai maintenu fermé pour la rigidité de l’ensemble ; le volet de dessous ouvert vers l’intérieur de la cabine ; les tapes de gauche et de droite en position ouverte, avec leur poignée de manœuvre ; et les instruments de bord au dessus du volant.

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Les panneaux sont prêts à être montés. En premier, essayer un montage à froid car la cohésion de panneaux n’est pas évidente. Ensuite, fixer d’abord les deux flancs au plancher. Pas de problème majeur, les gabarits sont justes. Ensuite vient le panneau vertical de devant, contre lequel viendra s’appliquer le panneau incliné avant, et enfin le panneau arrière. La cabine est prête mais ne reçoit pas encore toutes les petites pièces qui risqueraient de gêner la suite du montage ou de se casser lors des manipulations.


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Je dois reconnaître qu’à ce stade l’engin ressemble d’avantage à une grosse bête toute bosselée qu’à un engin à roues. C’est tout petit, mais assez rigolo.



A suivre

Çà y est, je les ai rencontré ! J’ai rencontré ces grands malades Les fous de la petite pièce à découper, à affiner, à recreuser les trous sur un bout de plastique de deux millimètres de long, alors que moulé sur la pièce finale n’enlèverait rien . Bref, je dois avouer que je voulais m’y essayer un peu, moi aussi. 262 morceaux pour une si petite pièce auraient dû me mettre la puce à l’oreille….. le début avec la cabine commençait pas mal. Et puis il a bien fallu aborder le train de roulement avec les arbres , les biellettes de direction, les joints et autres charmantes bestioles ( dont aucune ne veut s’emboiter dans l’autre) .Je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu la bonne idée ( euh, non, c’est le hasard qui a eu la bonne idée) de me faire commencer par le pont arrière.


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à gauche sur la photo.
Je ne savais pas encore que j’en étais au gâteau comparé avec le pont avant. Le pont arrière fait tourner les roues dans le plan vertical, sur un seul axe, lui. Le pont avant fait la même chose, mais en plus gire dans un plan horizontal, et çà, en maquettisme, c’est beaucoup plus rigolo.




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Bon, les photos sont parties un peu vite, je termine donc le texte qui devait aller avec:


Un demi pont arrière : 7 pièces. Un demi pont avant, 12 pièces, sans compter la barre de direction qui assure le mouvement simultané des deux roues avant.
Comme j’étais dans mes œuvres pendant une séance de réunion du club, les réactions diverses des membres présents m’ont certainement aidé, d’une part à aller jusqu’au bout et non jusqu’à la poubelle la plus proche, et d’autre part à garder mon calme. Entre l’air horrifié d’une membre, l’air réjoui d’un vrai connaisseur qui fait la même chose mais au 72ème et celui bon enfant du président sur un ton ‘’ çà ne m’étonne pas de lui, c’t’un fou furieux, je le connais bien ! ‘’, je dois dire que je me sus quand même bien amusé. Bon, je prends un petit calmant et j’y retourne.
En ten tion !

La suite au retour de Montreux.

Ah bon!!!!!.......au retour de Montreux....donc, il ne fera pas pazrti du voyage ????? domaaaaaaaage !!!!

Salut Philippe,

j'aurais vraiment voulu y assister à cette réunion de club, te voir te débattre avec toutes ces petites pièces, plus démoniaques les unes des autres !!!!

De quoi devenir par moments ...

Tu t'en sort bien et tu as raison de te préparer en vue du weekend Monstrueux que vous allez passer !!!!
Amusez vous bien les amis et faites fonctionner les boites à images mais pas celles sur le bord de la route.


P.S : je note que tu es le seul à nous montrer ton travail, malheureusement pour moi, les termes et conditions de mon chantier en cours ne me permettent pour l'instant de le partager avec vous, j'enrage ...

Il faut bien qu'il y en ait un qui commence! Ne serait ce que pour suggérer aux autres que ce serait pas mal s'ils s'y mettaient aussi. J'ai cru comprendre qu'un autre membre du club pourrait essayer de retrouver des maquettes qu'il avait commencé...... et puis il faut laisser le temps au responsable de la section de réaliser quelque chose lui aussi pour montrer une ou plusieurs directions. Sur un autre forum, on s'est suffisamment moqué de celui qui nous avait enseveli sous les questions sur l'uniforme d'une figurine particulière et au bout de trois pages nous avait annoncé: '' bon, merci de vos précisions, mais je n'ai pas acheté la figurine''. Un grand absent, habituellement particulièrement prolifique, Mich. Mais le pauvre, il doit être à fond dans la dernière ligne droite ( toujours un peu biscornue, la dernière ligne droite!.....) de préparation de Montreux.
Bon, j'ai optimisé un max mais c'est vrai que je me sens un peu seul sur ce post. Un peu de concurrence ne ferait vraiment pas de mal.
Pour Montreux, pas de problème, on est prêts. On doit retrouver Tira et Alain Lafay sur la route, comme chacun sait, deux grands tristes, puis rejoindre les Ambarres. Eux aussi de grands ascètes. Comme on débarque à une vingtaine de fieffés gaulois , les suisses ont partiellement mobilisé ( c'est ce qu'on dit) l'armée. c'est dire qu'on est prêts.

A la semaine prochaine pour les photos.

Ouhai...on débarque....avec notre copine ...la neige, et ce n'est pas gagné !!!!

Alain de NIIIICE a écrit:Ouhai...on débarque....avec notre copine ...la neige, et ce n'est pas gagné !!!!

En Suisse il n'y a rien en plaine...
Bone route !

Na! et paf! j'le savais. Hé hé........... la neige , la crise, les emmerdes, tout çà c'est en France. Comme d'hab!

barreaud philippe a écrit:Na! et paf! j'le savais. Hé hé........... la neige , la crise, les emmerdes, tout çà c'est en France. Comme d'hab!

Ben comme d'hab, non ?? !!!!!!!

Bonne route à vous tous et bon weekend. Amusez vous bien !!!!!

On continue,
Après avoir assemblé les deux demi ponts au châssis, celui-ci est fixé à la coque. Le capot moteur vient trouver sa place à l’arrière sans problème.
A ce stade, il existe deux possibilités, fixer les quatre blocs amortisseurs aux ponts, ou mettre en place les ailes avant et arrière. Le plan indique la première solution. Le problème est que ces blocs gênent la fixation des ailes à la coque. Il vaut mieux faire l’inverse, car les amortisseurs vont trouver naturellement leurs places et si on n’a pas trop tardé entre les opérations et que la colle est encore fraiche, les têtes des amortisseurs vont aligner le plan des ailes.
Suit une série de petites opérations fastidieuses, dont le façonnage de l’attache arrière du siège extérieur et des deux dossiers, le tout en photodécoupe. Cela n’amène pas grand-chose et les mêmes pièces moulées auraient été plus pratiques.

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Bref, la voiture avance. Autre moment de gloire, la fixation des pneus sur les roues lorsqu’elles sont déjà en place. A éviter, il vaut mieux les fixer avant et se débrouiller avec la peinture après.
Il ne me reste que quelques détails, la porte du trou d’homme côté gauche, quelques crochets en photo découpe, puis la peinture.
J’ai tartiné le bas de caisse et l’intérieur des ailes de mastique Tamyia pour amorcer le ‘’weathering’’. A la peinture il figurera l’amas de boue et neige fondue ayant éclaboussé le véhicule. Nous sommes en janvier, plus ou moins en tout terrain.


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Enfin, la suite des photos !!!!!!

Bon la neige ne vous a pas empêché de rentrer, la reprise s'effectue en douceur à ce que je vois, et le résultat est vraiment sympa !!!!

Merci pour les infos et astuces concernant le montage.

Bonne continuation avec les finitions et la mise en peinture !!!

Pas évident le montage de ce p'tit véhicule.....mais tu le réalise avec une certaine aisance.....Vivement l'action peinture....

Bonjour,
le montage proprement dit est terminé. Il reste quelques accessoires à ajouter à la fin. L'armement, les antennes radio, et tous les sacs de l'équipage. La première couche est fixée . Prince August, mélange marron et vert noir russe. ces teintes resteront pendant toute la peinture dans des tons différents. les bas de caisse, intérieur des ailes, plancher, pans avant et arrière, roues, sont en cors de salissure matte. C'est la première approche. Il ne restera de visible que les hauts de sces zones. Ce sera la partie sèche de la boue, celle déposée les jours précédents. Le plus vers le bas sera sali avec un mélange plus noirci et marron foncé, le tout satiné pour représenter la boue du jour encore humide. Les arrêtes du véhicule recevront un léger brossage à sec blanc et les pans plats un jus complètement délavé blanchâtre pour représenter le givre de janvier.

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J'ai placé les marquages tactiques avant le vieillissement, bien sûr. La même opération pour son voisin de scène, d'une autre division.

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Mais....tu en as monté 2, de ces petits angins ??
Bien vu la patine apportée, les effets de salissures boueuses.......

Michel t'a -t-il parlé des kits achetés pour représenté poussière et autres traces, tel que des effets de rouille, de mouillé, etc.....Poses lui la question.....c'est assez surprenant, le résultat....